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MICHELIN EXPLORE #1

We race for change

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A l’origine de plus de 1200 victoires aux côtés des plus belles légendes des sports mécaniques et de progrès majeurs pour la mobilité, la compétition demeure plus que jamais un terrain d’expérimentation et d’accélération d’innovations technologiques.
Pour autant, aujourd’hui, la course a changé de nature.  

Une course contre-la-montre pour l’environnement est engagée !

Sur plus de 100 ans d’histoire, Michelin a accumulé un nombre inégalé de trophées avec plus de 1200 victoires dans des courses majeures – sur circuit comme sur routes fermées, dans les déserts comme au cœur des forêts enneigées – toutes compétitions confondues. Michelin a largement démontré en course la performance de ses pneumatiques. Pour autant, aujourd’hui, l’ambition que se fixe l’Entreprise va encore plus loin. Le Groupe concentre désormais toute sa force d’innovation et de recherche sur les enjeux environnementaux.  

replay replay

Replay

Plus de cent victoires en F1, cinq fois plus en Catégorie reine Moto 500cc/MotoGP™), plus de trois cents en championnat du monde des Rallyes, une centaine en Endurance dont toutes les victoires consécutives depuis 1998 aux 24 Heures du Mans… Michelin a écrit les plus belles pages de l’histoire des sports mécaniques grâce à ses innovations, son expertise, sa culture de l’excellence, sa passion, son audace aussi…

1906 : première grande victoire de Michelin en course automobile !

Lors du premier Grand Prix automobile de France, près du Mans, la technologie brevetée de Michelin – la jante amovible - suscite bien la convoitise, puisqu’il ne faut désormais qu’au plus quatre minutes pour remplacer un pneu Michelin, contre un bon quart d’heure pour réparer un pneu classique.  Après deux jours de course intenses et éreintants, la Renault AK du Hongrois Ferenc Szisz équipée de pneumatiques et du système de jante amovible Michelin remporte l’épreuve.  

La compétition, un laboratoire historique de l’extrême

Michelin remporte la première édition des 24 Heures du Mans

Nous sommes les 26 et 27 mai 1923, au Grand Prix d’Endurance-Coupe Rudge Whitworth, l’ancêtre des 24 Heures du Mans. Après plus de 2000 kilomètres, les Chenard et Walcker pilotées par André Lagache/René Léonard et Raoul Bachmann/Christian Dauvergne et équipées de pneumatiques Michelin « Le Confort », signent un doublé retentissant. Michelin remporte ce qui sera la première édition des 24 Heures du Mans. 

Dès lors, cette course impitoyable devient un laboratoire idéal pour expérimenter des technologies dans les conditions les plus extrêmes. Dès 1967, Michelin introduit un nouveau pneu slick à structure radiale sur un prototype Alpine A210. Ce pneu sans sculpture exclusivement développé pour la compétition délivre un très haut niveau d’adhérence sur sol sec grâce à des mélanges de gommes spécifiques et à l’utilisation de matériaux très performants.  

Du circuit à la route...

En 1973, le pneu slick Michelin à structure radiale contribue à la victoire en Championnat du monde des Rallyes. La technologie est introduite en Championnat du monde de Vitesse Moto l’année suivante : en 1978, elle s’impose au Grand Prix du Brésil de F1 avec Ferrari et gagne les 24 Heures du Mans avec Renault-Alpine. En 1979, Michelin et Ferrari sont sacrés champions du monde de F1 grâce à la technologie du pneu X Michelin. La compétition accélère le développement du pneu Radial, dont l’usage commercial s’étendra ensuite au poids-lourd, au deux-roues, à l’agricole, au génie-civil, à l’aviation... 

Michelin ne cesse d’innover et enchaîne les victoires et les titres en F1 avec Ferrari, Renault, BMW, McLaren... Michelin écrase la concurrence en Championnat du monde de Vitesse Moto avec Suzuki, Honda, Yamaha. Michelin triomphe en Rallye avec Audi et sa technologie 4-roues motrices, Lancia, Toyota... Michelin domine en Endurance avec Mercedes, puis Peugeot. Michelin règne sur les pistes du Rallye Dakar dans toutes les catégories. De nombreuses innovations imaginées pour la course transformeront la mobilité et trouveront une application dans les pneus du commerce. 

La technologie radiale, une révolution !

Le pneu MICHELIN X marque une véritable rupture en réunissant des performances exceptionnelles : une incroyable longévité (2 à 4 fois plus de kilomètres qu’un pneu conventionnel), plus de sécurité mais surtout une réduction de la consommation de carburant des véhicules.

change change

We race for change

« We do not race for glory, but for change».

Michelin est convaincu que le progrès technologique est une des réponses aux enjeux environnementaux. Expérimentation et tests de matériaux renouvelables ou recyclés, de procédés et de méthodologies plus respectueux de l’environnement, accompagnement de partenaires-constructeurs dans leur transition écologique… Au-delà des victoires, Michelin s’engage donc, à travers la compétition, dans une course contre-la-montre pour l’environnement. 

Grâce à la compétition, nous acquérons des expertises spécifiques que seul le très haut niveau sportif permet, au contact des constructeurs et des partenaires les plus exigeants, engagés  dans les mêmes défis : une mobilité durable et plus décarbonée.

Matthieu Bonardel

Directeur de Michelin Motorsport

Durant cette dernière décennie, Michelin intensifie son engagement dans des projets lui permettant de relever des défis technologiques ambitieux au bénéfice de l’environnement et ainsi concrétiser ses ambitions Tout durables.

FIA Formula E

FIA Formula E

C’est en 2014 que la FIA Formula E voit le jour. Nouveau championnat se déroulant sur des circuits urbains, réservé aux véhicules électriques, parfaitement cohérent avec l’approche "Tout durable" du Groupe, Michelin en est le partenaire-fondateur. 

Le pneu adapté aux nouvelles monoplaces électriques n’existe ni au catalogue de Michelin, ni dans les cartons...Les ingénieurs, chimistes et développeurs de MICHELIN Motorsport et du Centre de Technologies de Ladoux... tous se mettent à l’œuvre et, grâce aux progrès de la simulation, le pneu MICHELIN Pilot Sport EV est fin prêt pour le premier ePrix de l’histoire.  

Fort de son expérience en FIA Formula E, Michelin développera la gamme MICHELIN Pilot Sport EV dont la déclinaison commerciale fait aujourd’hui référence sur le marché des véhicules électriques et hybrides.  

MissionH24

MissionH24

Lancé en 2018, le projet MissionH24 veut écrire le futur du Motorsport en développant un prototype et une catégorie réservée aux véhicules électrique-hydrogène aux 24 Heures du Mans. Bingo ! Le groupe Michelin répond présent à double titre. 

Une participation via sa filiale Symbio qui conçoit des piles à combustible, et via la marque MICHELIN qui a développé un pneu de course spécifique à partir de matériaux renouvelables ou recyclés. Le mercredi 8 juin 2022, le prototype H24 chaussé de pneus Michelin démarre pour un unique tour afin d’établir le record de vitesse d’un prototype à hydrogène : les écrans de contrôle du circuit du Mans affichent 290,8 km/h sur la ligne droite des Hunaudières.

Ce même prototype participe ensuite aux essais de la course Road to Le Mans et en profite pour boucler trois tours avec les pneus MICHELIN conçus avec 53 % de matériaux renouvelables et recyclés. Un an plus tard, Michelin réussit à intégrer 63 % de matériaux renouvelables et recyclés tout en garantissant les mêmes performances. L’hydrogène aux 24 Heures du Mans 2026 n’est désormais plus une Chimère. 

MotoE™

MotoE™

En 2019, Michelin devient partenaire de la Coupe du monde FIM de MotoETM, la première série réservée aux motos électriques. 

Michelin développe des produits spécifiquement adaptés à ces machines, des pneus performants et durables. Aujourd’hui, les pneus MICHELIN affichent un taux de matériaux renouvelables et recyclés de 34 % pour l’avant et 52 % pour l’arrière.

Caoutchouc naturel, écorce de riz ou d’agrumes, résine de pin, acier recyclé... : un pneu MotoETM intègre une moyenne de plus de 40 % de matériaux renouvelables ou recyclés.

Porsche GT4 ePerformance

Porsche GT4 ePerformance

Partenaires depuis plus de vingt ans en Motorsport, Michelin et Porsche partagent non seulement un brillant palmarès, mais également une vision claire du futur du Motorsport : « zéro-émission et durable ». 

Quand Porsche dévoile son projet Mission R et son concept Porsche GT4 ePerformance, un modèle Cayman 718 GT4 tout électrique de plus de 1000 chevaux, Michelin répond immédiatement présent pour l’équiper de pneus « 53 » (avec 53 % de matériaux renouvelables ou recyclés). 

La Porsche GT4 ePerformance est dévoilée au Festival de Goodwood 2022 avant d’entamer un World Tour de démonstration, dont une apparition à la Race of Champions, au Cercle polaire, sur un circuit enneigé. Pour l’occasion, Michelin avait spécialement clouté des pneus « 53 ». 

Et parce que, pour Michelin, durable rime également avec longévité des performances, c’est également à travers d’autres disciplines, que les équipes Motorsport de Michelin testent des technologies d’excellence, elles-aussi, bénéfiques à une mobilité plus durable. C’est le cas notamment du MotoGP™ et du championnat du monde d'endurance Automobile (FIA WEC), qui, sur le plan de la robustesse ou encore de l’endurance, permettent aux pneus de tous les jours de bénéficier des connaissances acquises en Motorsport - dans des conditions extrêmes, sur des machines extrêmes, conduites par des pilotes « extrêmes » et dans un temps record.  

Durer Durer

Des performances faites pour durer

Des performances qui durent ! Et si c’était la première qualité environnementale d’un objet ? Michelin estime* que, rien qu’en Europe, 128 millions de pneus et 6,6 millions de tonnes d'émissions de CO₂ seraient économisés si tous les pneus pouvaient être utilisés jusqu’à leur limite d'usure légale de 1,6 millimètre. Sur route comme sur circuit, concevoir des pneus sûrs et performants du premier au dernier kilomètre, c’est dans l’ADN de Michelin.

 * Selon des calculs internes effectués à Ladoux (Centre de Technologie, Clermont-Ferrand – France) : communiqué technique du 27/09/2016, sur « Les matières premières, la consommation de carburant et les émissions de CO₂ liées au remplacement précoce des pneus Tourisme ».   

Pour Michelin, il est essentiel de prolonger la durée de vie des pneumatiques afin d’utiliser et de fabriquer moins de pneus, de réduire l’utilisation de matières premières et d’énergie, ainsi que les émissions de CO₂  associées. En compétition comme sur la route, garantir de très hautes performances tout au long de la vie du pneumatique permet de réduire la fréquence des remplacements. C’est pourquoi, Michelin s’engage à développer des pneus dont la performance et la sécurité se maintiennent dans la durée ; un principe appliqué à l'ensemble des gammes de pneus : pour les voitures, les vélos, les motos, les camions, les avions, etc.  

Depuis ses débuts en compétition, Michelin a toujours brillé sur les épreuves longues et difficiles : du Paris-Brest-Paris à bicyclette avec Charles Terront, aux Coupes Gordon Bennet ; des 24 Heures du Mans aux étapes-marathon du Rallye Dakar. Sur les 10 dernières années, Michelin aura permis aux voitures LMP1 du Mans de parcourir jusqu’à 750 km à une vitesse moyenne de 240 Km/h avec un seul train de pneus. C’est l’équivalent de deux Grand Prix de F1 ! 

Moins de pneus utilisés en course ! Michelin a toujours approuvé la réduction du nombre de pneumatique sur les courses. Aussi, dans les années 2000, Michelin encourage l’introduction des quotas de pneus sur les rallyes mondiaux. En Formula E, Michelin adapte ses produits à la réduction de 25% des quotas de pneus. En championnat FIA WEC, en IMSA, des allocations limitent le nombre de pneus pour chaque course et poussent les teams à enchaîner les relais avec les mêmes pneus...

Matériaux Matériaux

Matériaux renouvelables ou recyclés

Réussir à rendre le pneu tout durable d’ici 2050 est sûrement l’un des plus grands défis que s’est fixé Michelin depuis la technologie Radiale. C’est pourquoi les ingénieurs, chimistes et développeurs de Michelin Motorsport accélèrent également leurs recherches pour intégrer toujours plus de matériaux renouvelables ou recyclés dans les pneus.  Le challenge est multiple : garantir le même niveau de performance et de sécurité qu’un pneu traditionnel et être capable de le produire à grande échelle.  

On a découvert notamment qu’après traitement spécifique, l’écorce de riz pouvait être transformée en silice, un matériau utilisé dans la bande de roulement du pneu pour augmenter sa solidité et diminuer sa résistance au roulement. Il faut savoir que l’écorce de riz entre déjà dans la composition des pneus pour les hypercars qui ont participé aux 24H du Mans en 2023.

Jean-Michel Bellard

Designer de pneus chez Michelin Motorsport

Savez-vous que les pneus arrière de MotoE™ intègrent déjà plus de 50 % de matières premières renouvelables et recyclées, issues d’écorce d’orange, de la résine de pin ou de pneus usagés. C’est assez « chocking » d’apprendre qu’on roule en toute confiance à plus de 250 km/h avec des pneus composés des pelures d’orange !  

Quant à la gamme de pneus MICHELIN Pilot Sport d’Endurance 2023 destinée aux prototypes Hypercar, celle-ci affiche désormais un taux de matériaux renouvelables et recyclés de 30 % pour les slicks et de 45 % pour les pneus pluie. Sans oublier le prototype électrique-hydrogène - la LMPH2G MissionH24 Green GT – qui dès les 24 Heures du Mans 2022, bouclait un tour complet du circuit, équipée de pneumatiques Michelin conçus avec 53 % de matériaux renouvelables et recyclés. Un an plus tard, Michelin repousse encore les limites en franchissant le cap des 63 % ! 

Le Motorsport est aujourd’hui en phase de recherche avancée sur l’industrialisation et la production à grande échelle.

Les équipes ont gagné un temps précieux dans le développement des premiers pneus homologués pour la route intégrant respectivement 58 % et 45 % de matériaux renouvelables et recyclés, notamment grâce au travail de catégorisation des matériaux et du référencement des fournisseurs déjà réalisé par les équipes Motorsport. Les technologies ainsi développées bénéficieront à tous les pneus Michelin dès 2025.

Les matières renouvelables ou recyclées selon Michelin

Les matières renouvelables ou recyclées selon Michelin

Matières recyclées : styrène régénéré à partir de déchets en polystyrène (pots de yaourt, barquettes alimentaires, emballages…), textile régénéré à partir de déchets en PET* (bouteilles plastiques, flacons…), noir de carbone recyclé à partir de pneus en fin de vie. 

*PET : Polyéthylène Téréphtalate 

Matériaux biosourcés renouvelables : caoutchouc naturel issu d’une filière responsable, butadiène (ou butadiène biosourcé) produit à partir de biomasse (déchets végétaux). 

Le Michelin Regen’Lab

Le Michelin Regen’Lab

Michelin a mis au point le Regen’Lab, une étonnante machine 3D interactive qui illustre le fonctionnement des nouvelles technologies de régénération de la matière :  par exemple, comment le styrène issu des pots de yaourt est régénéré et peut être réutilisé dans le caoutchouc synthétique ? Comment le monomère régénéré des bouteilles plastiques peut se retrouver dans les fils polyester de renforts des pneus, ou comment le noir de carbone recyclé peut entrer dans la composition d’un pneu neuf ? 

SIMULATION SIMULATION

Modélisation et simulation

Quand on part de zéro, on commence par étudier le règlement technique, le cahier des charges, puis à échanger des données avec les constructeurs pour estimer les charges et contraintes qui pèseront sur les pneus. Concrètement, on analyse les efforts qui seront appliqués au pneu, on les simule grâce à des modèles mathématiques. On peut ensuite changer virtuellement la construction, les matériaux, tester différentes configurations... Il faut environ un mois pour la conception pure d’un nouveau pneu de compétition par ordinateur.

Matthieu Le Gars

Concepteur des pneus Michelin Hypercar

Après la conception, on vient évaluer les forces et mouvements du pneu, toutes ses caractéristiques. On récupère les données du concepteur et on les applique sur un modèle pneumatique qui s’appelle TameTire. On va ensuite tester et évaluer le pneu modélisé sur simulateur avec un pilote de la future voiture, sur différents circuits en fonction de ce qu’on veut tester, la construction, les gommes... On a une corrélation optimum entre la piste et la simulation, c’est ce qui nous permet de faire du développement virtuel de façon aussi pertinente. La simulation permet de gagner du temps et de l’argent et de réduire les émissions de CO2.

Jérémie Riquier

Analyste-performance chez Michelin Motorsport

De la phase de développement virtuel jusqu’aux tests... 

Après la phase développement virtuel, vient celle de la fabrication du pneu réel, puis celle des contrôles et des tests avant le premier roulage sur piste. Et c’est au Centre de Technologies de Ladoux, à Clermont-Ferrand, que ça se passe, avec la machine « Record ». Cette machine extraordinaire permet de tester un pneumatique en statique et en dynamique, comme s’il roulait sur un vrai circuit.  

C’est un énorme cylindre de trois mètres de diamètre à l’intérieur duquel se trouve une bande d’asphalte. Un bras mécanique vient appuyer le pneu sur cette surface rugueuse. La machine peut donner au pneumatique différents angles de dérive, de carrossage et le cylindre peut tourner jusqu’à 350 km/h. Il est ainsi possible de reproduire différentes conditions de roulage (y compris sous la pluie) afin de tester le pneumatique pour s’assurer qu’il est parfaitement sécure avant son premier roulage réel.  

Grâce à ces outils, Michelin parvient à simuler le comportement d’un pneumatique dans les situations d’usage les plus extrêmes, ce qui permet de fabriquer et de tester uniquement les spécifications les plus satisfaisantes et donc de réduire la production de pneus, le nombre de séances d’essais, les émissions de CO₂ .... Conçue pour le Motorsport, la machine « Record » est aujourd’hui largement utilisée dans le développement des pneus de série. 

Canopy

Canopy

Michelin vient d’acquérir la société anglaise Canopy Simulation, leader mondial de la simulation de « temps au tour ». Canopy propose un des meilleurs logiciels de simulation du marché, hébergé sur une plate-forme cloud. Ce logiciel combine les modèles circuit, voiture et pneumatiques avec un « simulateur de trajectoires » très avancé, qui reproduit le comportement d’un « pilote virtuel idéal ». L’humain conserve néanmoins le dernier mot : un pilote viendra valider la définition finale du pneumatique et son adaptation au véhicule 

AoTech

AoTech

En Ile-de-France, la société AoTech s’est forgée une solide réputation dans le monde de la simulation automobile et compte parmi ses nombreux clients des pilotes, des constructeurs ou encore des associations comme l’Automobile Club de l’Ouest. Michelin a choisi AoTech et sa plateforme dynamique pour tester virtuellement ses pneumatiques de course avant leur production et roulage sur piste. De « vrais » pilotes passent ainsi des heures sur simulateur pour donner leur ressenti sur le comportement des pneus « virtuels » Michelin. 

TameTire

TameTire

Durant sa présence en Formule 1, au début des années 2000, Michelin Motorsport a conçu l’outil de simulation TameTire, un modèle pneumatique thermo-mécanique qui a constamment évolué grâce au développement informatique et aux connaissances acquises dans les championnats récents, y compris aux 24 Heures du Mans.